L’ouvrage Le traumatisme de la pandémie, son oubli et le seuil d’une nouvelle ère capture la peur de tomber malade, de perdre des êtres chers, de voir disparaître tout un mode de vie et, surtout, la peur de mourir à cause de la pandémie de Covid-19. Quelles tendances pourraient émerger à partir de ce tournant dans l’histoire de l’humanité? Où le monde se dirigerait-il après la dévastation sociale et économique laissée par le coronavirus? Comment équilibrer les émotions face à un monde chaotique, plein d’incertitudes, où les inégalités sociales et économiques s’accentuent encore davantage? Le livre présente le récit de l’autrice, basé sur les faits tirés des actualités et de ses propres expériences, montrant sa « petite histoire » au sein de la « grande histoire ». L’oubli est devenu l’une des réponses que les gens apportent à cette tragédie, et cela n’arrive pas par hasard, comme l’indique si bien l’ethnologue et anthropologue français Marc Augé.
Le traumatisme de la pandémie – son oubli et le seuil d’une nouvelle ère
R$ 70,00
Maria Gravina Ogata est titulaire d’une licence en droit et en géographie, avec un master en géographie physique et un doctorat en sciences politiques. Actuellement, elle travaille comme consultante juridique en droit de l’environnement. Née à Polignano a Mare, en Italie, elle a émigré au Brésil en 1953, à l’âge de deux ans. Elle est autrice de livres pour enfants et d’essais socio-historiques, ayant reçu neuf prix littéraires en Italie. Elle possède la double nationalité brésilienne et italienne. Elle réside à Cotia (São Paulo) et également à Montebelluna, en Italie.
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